L'I.A. rapporte que Honoré de Balzac malgré sa modernité écrivait avec une plume d'oie. Le type de trace laissé semble être plus proche du stylet à réservoir. Étant maniaque il pouvait écrire avec une plume d'oie tel une écriture de stylet.
Nous pouvons reculé jusqu'en 1829 avec Le « Typographe » de William Austin Burt est considéré comme la première machine à écrire, mais il était plus lent que l'écriture à la main. Ne laissant aucunement le doute à Honoré de Balzac d'avoir faillit commercialement parlant pour être supplanté par le Typographe, non aucunement.Le procédé de Gutenberg était un standard qui à grandis et s'est raffiné depuis son invention de 1468. L'invention n'a été brièvement surpassé par un type sériel et mécanique de positionnement des caractères. Dès 1833, par le Français Xavier Progin qui dépose des brevets pour une machine ou plume ktypographique. Donc Honoré de Balzac écrivait à la plume, ou un équivalent de stylet, ou crayons à réservoir qui se sauçait dans l'encre. D’ailleurs avant Gutenberg l'encre était à l'eau, et suite à Gutenberg l'encre passa à l'huile et relate la possible théorie de fabriqué son encre tels les Aztecs qui humectait les bout de leur tressage de carte avec le même genre de boue foncé faite à partie de plante d'Indica varié et chauffé avec de l'eau en chaudron et cette boue les tresses trempé se durcie. D’ailleurs un conflit sur le type d'encre semble persisté avec Balzac, son encre aurait une définition d'être à base de roche noir similaire à l'antracite tandis que devenant imprimeur il aurait bien pu utilisé l'encre C.B.D., aussi vieille que les teintures à cheveux, l'encre CBD demande d'être chauffé (près d'une lampe d'éclairage) ou saturé d'alcool permettant des traits fin à l'écriture. C'est la seule réalité qui diffère et serait le "momentum" de Balzac il cachait sa fabrication d'encre ou n'a pas parlé du bon procédé.
Il y a-t-il une réalité entre la drogue et les nombreux écrivains qui mentent dans leur écrits ? Entre mensonges et l'interprétation à travers la définition de drogue, mêmes si elle ne fût largement introduit par la "French Connections" des années 1950, il est fort possible que très peu d'écrivain on suivi des drogués pour décrire leur quotidiens et Balzac étant dans la mire de la description romanesque, un joint d'héroïne est plus silencieux à sa description qu'une injection avec "gareau, seringue et d'injection d'héroïne" ; dès lors relire tout Balzac pour trouvé ce qui fume ce qui ressemble à plus que du tabac vert. Apparemment les crises associés au café et les problèmes de tensions de Balzac sont beaucoup plus proche des crises relatives aux opiacés que les descriptions de crises de paniques associé au café serait en point similaire à la consomation de cannabis et serait insensible aux résultat, douleurs abdominales crise céphalé et voir même être hystérique.
Faisant partie de l’Europe, même l'héroïne inventé en synthétisé en 1804 par Bayer fut largement utilisé et par la suite proscrite suite aux important effets secondaire aurait-on eu des écrivains qui avait peur de parlé de ce mal qui grandissait lentement, la surconsommation, ne transparait pas via les écrits des académicien. Point vue avec le temps Balzac avait peu-être un penchant pour le goutte de CBD dans son café. Une pointe de d'huile à encre sur le bord de sa lampe de chevet et s'enivre pour quelques minutes et loin d'être un gros pétard d'héroïne ? Ceci n'est qu'une hypothèse.
C'est le versant le plus noir à connaître d'Honoré de Balzac à savoir
s'endetter dans une entreprise de fonderie de caractères, jugé fantaisiste le mode de démarrage de cet entreprise fût clos par des
dettes. N'être que son propre imprimeur pour quelques livres. Il y a des
questions tel son café noir n'est pas expliqué, il n'explique que le
café qu'il prend lors de sa sortie de sa chambre après avoir pondu un
manuel et une nouvelle et un roman. Il explique la présence d'expresso,
café de Guadeloupe et de mélange de caramel. Balzac n'a jamais cité
qu'il pourrait faire commerce sur le 16e arrondissement en vendant du
café et des livres ?
Étant un illuminé qui ne dormait que très peu, une question reste en
suspend montait-il aux poudres si il manquait de sucre ou de caramel
dans la concoction qui dans certains écrits qualifié de sirop de café
qu'il consommait et jusqu'à tard dans la nuit ? Je n'irais pas en France dans la maison de Balzac pour le lire ou le voir. À vrai dire le
paysages de Balzac et la tour Eiffel étant potentiellement à la même
hauteur depuis 1820 à nos années 2025, donne ce sentiment d'apartenance à
une région de voir encore et encore le même environement après de
longues centaines d'années. Ici dans cette ville de Montréal avec la Pointe-à-Callière qui nous enseigne que le défrichage et le manque de
gazon une fois défriché à amené une importante quantité de poussières et
de terre on enflé la hauteur des berges et des chemins pour n'avoir
aucune possibilité de gardé l'illustre réalité mètre par mètre vis à vis
des constance local et l'époque.
L'époque romantique en France se déroule principalement de 1810 à 1850, en réaction au classicisme et aux Lumières.
Cette époque romanesque appairait aussi avec la diversité des évolutions de l'impression de Gutenberg, ajoutant et un grand nombre de jeux de caractères réservé à la production de majuscule ou d'amorce de chapitre avec des grandes lettres et de décoration. Il n'est point cité que les poinçons de Balzac furent populaire. Cependant aujourd'hui nous reconnaissons que l'aversion de L'Égypte dans l'introduction des cadeaux de Méhémet-Ali dans les musées on charmé le public français de cette époque et en reste encore les lettre Égyptiennes ornées de Balzac existent encore.
Présentée à l'Académie "L'Égypte et le vocabulaire de Balzac et Théophile Gauthier" par M. Gustave Lefebvre, rapporte bien le type d'aversion qu'apporte la popularité de l'Égypte en France façonne beaucoup les descriptions conjointes de Balzac et Théophile Gauthier. Cependant il est noté de M. Gustave Lefebvre chacune à son type de perversion littéraire vis-à-vis un terme mentionné "l’hiéroglyphe" .
le vocabulaire de Balzac est impersonnel et vis-à-vis les hiéroglyphes sont démontré comme image atypique. Balzac recueillait tout naturellement les mots dont le XIX ième siècle à son début venait de retrouver l'usage, Théophile Gauthier recherchait des termes nouveaux et inconnus par pure fantaisie d'artiste et se vouait au rehaussement avec ses termes empruntés. Théophile Gauthier était plus proche du classicisme par l'exotisme et l'unicité de ses déclaration littéraire, Balzac était romantique et dosait de ses mots à des fin d'imagination et de visualisation.
D’ailleurs le mode classicisme reflète grandement le comportement et son impact sur la vie des gens qui partage cette aire post-napoléonienne, tel la perte de l'Italie. De plus Balzac à quelques écrit et un docteur qu'il visite au loin en Italie et se fait diagnostiqué des vertiges, des manquements, des céphalées à répétition, s'éloignant avec le temps de l'idéalité de l'être solide et franc du classicisme, Balzac à travers sa souffrance continue, sa hargne à point laissé le café sont des rituels qu'on associe au romantique. Tel aimé une chose impossible la surconsommation de café.
À la définition d'Honoré de Balzac à la suite de son échec de sa fonderie, entre mêle, son propre échec à une œuvre qui définit le héros d’illusions perdues. Il se ré-interprète tel David Séchard, tel un déplorable gestionnaire ce qui met rapidement son entreprise au bord de la faillite. Son dernier coup d'éclat est le rachat en septembre 1827, de la fameuse fonderie de caractères d’imprimerie de Joseph-Gaspard Gillé. Spécialisée, depuis le XVIII ième siècle dans les lettres d'écriture, de fantaisie et les ornements, cette maison a joué un rôle important dans l'histoire de la typographie romantique.
Noté, que je vois Balzac comme bizarre de vivre dans un niveau de stress et de mourir d'insuffisance cardiaque, ou devrais-je dire mort de ne pu pouvoir pomper.

